Thomas Sotinel
Le Monde
"Joy Division" : brillant exercice de critique rock cinématographique
Jusqu'à maintenant, les documentaires sur le rock se répartissaient entre les biographies - comme celle que Julien Temple a consacrée à Joe Strummer, Joe Strummer, the Future is Unwritten (2007) - et les films de concert - comme le merveilleux Stop Making Sense (1984), de Jonathan Demme, qui mettait en scène le groupe Talking Heads. Joy Division est d'une autre espèce, un film sur la musique, un brillant exercice de critique rock cinématographique qui explique et situe l'oeuvre succincte (deux albums et une poignée de singles) d'un groupe dont l'influence se fait encore sentir, presque trente ans après le suicide de son chanteur, Ian Curtis. [...]
di Thomas Sotinel, articolo completo (2842 caratteri spazi inclusi) su Le Monde 21 gennaio 2009