Gli amanti di Verona

De l'échelle de soie à la grosse ficelle

II y a des films sur lesquels il est particulièrement douloureux de faire des réserves. Pour bien des raisons, nous attendions beaucoup des Amants de Vérone, et certes il ne s'agit point de confondre les reproches que l'on peut faire aux films d'André Cayatte avec ceux qu'il est habituel de formuler à l'égard de la plupart des productions commerciales. L'échec ici se situe, Dieu merci! sur un certain plan et cette constatation est à elle seule un éloge dont il faut dès l'abord souligner le prix. [...]

di André Bazin, articolo completo (6182 caratteri spazi inclusi) su Cahiers du Cinéma 15 mars 1949