"Shine a Light" : sexagénaires and rock'n'roll
di Thomas Sotinel Le Monde
Longtemps, Martin Scorsese a aimé les Rolling Stones à distance, pillant avec allégresse leur répertoire pour nourrir les bandes-son de ses films. En 1973, on entendait Jumpin'Jack Flash dans Mean Streets, en 2005 c'était Gimme Shelter et Let It Loose dans Les Infiltrés.
Le cinéaste et le groupe se sont enfin rencontrés, à charge pour Marty de filmer Mick, Keith, Charlie et Ron en concert. Bien sûr, c'est trop tard. La grâce ne touchera pas les sexagénaires d'aujourd'hui comme elle les a baignés au temps de Sticky Fingers ou de Taxi Driver. [...]
di Thomas Sotinel, articolo completo (4987 caratteri spazi inclusi) su Le Monde 16 aprile 2008