"L'homme qui voulait vivre sa vie" : un ticket pour la rédemption
di Thomas Sotinel Le Monde
Parce qu'il est tout à fait inattendu, ce film suscite par sa seule apparition un supplément de sympathie. Tout le mérite de L'homme qui voulait vivre sa vie est de faire fructifier ce capital de départ et de transformer la curiosité bienveillante des premières séquences en un intérêt très vif. C'est que de bout en bout, le film se tient à cet adjectif déjà employé : inattendu.
De la maison Europacorp, qui domine en ce moment le box-office avec Les Petits Mouchoirs et Arthur 3, du réalisateur d'Un ticket pour l'espace, on n'attendait pas cette balade romanesque qui change sans cesse de registre et d'espace, sans pour autant perdre sa cohérence. [...]
di Thomas Sotinel, articolo completo (2896 caratteri spazi inclusi) su Le Monde 3 novembre 2010