"C'est ici que je vis" : récit de survie aux confins de Barcelone
di Jacques Mandelbaum Le Monde
Outre son monument national (Pedro Almodovar) et son efficace école horrifique (Jaume Balaguero, Juan Antonio Bayona...), le cinéma espagnol cultive, dans un jardin secret défriché naguère par Victor Erice (L'Esprit de la ruche, 1973), des cinéastes singuliers doués d'un grand talent. Avec José-Luis Guerin, Alberto Serra ou Mercedes Alvarez, dont il partage le goût solaire du paysage, l'art d'exalter la matière et l'indifférence aux lois du marché, Marc Recha est de ceux-là.
Fidèle à sa manière, son sixième long métrage se pénètre profondément de l'esprit d'un lieu, dont la géographie, le paysage sont partie prenante du récit. [...]
di Jacques Mandelbaum, articolo completo (2657 caratteri spazi inclusi) su Le Monde 10 febbraio 2010
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