"Adama, mon kibboutz" : enfance meurtrie dans le Neguev
di Jacques Mandelbaum Le Monde
Le cinéma israélien, comme on le répète désormais à longueur de colonnes, connaît aujourd'hui un foisonnement qui est lié tant à sa portée esthétique que critique. Utopie d'une société rurale égalitaire telle que la rêvaient les pionniers sionistes, le kibboutz, qu'on savait mal en point, mérite-t-il pour autant la virulence haineuse que lui porte ce film ?
L'histoire d'Adama est en tous cas partiellement autobiographique, et raconte l'enfance meurtrie d'un jeune garçon de douze ans dans un kibboutz du sud d'Israël dans les années 70. [...]
di Jacques Mandelbaum, articolo completo (1568 caratteri spazi inclusi) su Le Monde 16 gennaio 2009