"La Régate" : frapper son fils pour dire son amour
di Jacques Mandelbaum Le Monde
La violence familiale n'est pas un sujet aimable. C'est autour d'elle, de son mécanisme douloureux et pervers que tourne ce premier film, inspiré de l'expérience du réalisateur. L'affaire est délicate, et Bernard Bellefroid, formé à l'Insas de Bruxelles, s'en tire avec les honneurs, réalisant un film tenu, honnête, sans complaisance.
Alex, 15 ans, vit avec son père, Thierry, dans la réclusion d'un appartement délaissé, imagine-t-on, de longue date par une mère dont le film ne dira mot. Vie terne, étriquée, sans joie, à la mesure de la personnalité de Thierry. [...]
di Jacques Mandelbaum, articolo completo (2065 caratteri spazi inclusi) su Le Monde 17 febbraio 2010