André Bazin
Cahiers du Cinéma
En raison de son importance, je ne pouvais parler d'Une vie, dans ma dernière chronique, en même temps que des Amants et En cas de malheur. Je pense, en effet, que si le film d'Alexandre Astruc n'est pas le plus «réussi» des trois, il s'impose comme le plus riche de significations et le plus foncièrement original par rapport à l'avenir du cinéma français.
Adapté très librement, nous le verrons, du roman de Guy de Maupassant, Une vie a été accueilli assez froidement à Venise, et si la critique parisienne s'est révélée plus nuancée, elle fut néanmoins partagée et souvent réticente. [...]
di André Bazin, articolo completo (6506 caratteri spazi inclusi) su Cahiers du Cinéma 16 octobre 1958